4 étoiles Archives - Page 23 sur 23 - Il était une fois le cinéma

N.W.A Straight Outta Compton

Film plaisant et bien construit, N.W.A rend un bel hommage à un genre musical souvent décrié. A voir.

Fruitvale Station

Avec ce premier film basé sur un fait divers qui a défrayé la chronique, le jeune réalisateur Ryan Coogler impressionne et nous laisse entrevoir de belles réalisations à venir.

Deux jours, une nuit

Une troisième Palme d’or en vue pour les Dardenne ?

Aux mains des hommes

Avec « Aux mains des hommes », la jeune réalisatrice Katrin Gebbe signe un premier long métrage percutant et sans concession sur le Mal, avec une puissance devenue rare de nos jours.

Jean-Michel Basquiat : The Radiant Child

Tamra Davis signe un document exceptionnel sur la vie et l’oeuvre de Jean-Michel Basquiat, le peintre de l’underground new-yorkais à la carrière fulgurante. À ne manquer sous aucun prétexte.

Biutiful

La quatrième réalisation du déjà grand Alejandro Gonzalez Inarritu est un film superbe, sombre et lumineux à la fois, porté par l’immense Xavier Bardem, auteur d’une interprétation époustouflante.

Deux de la Vague

Deux de la Vague raconte à travers l’amitié puis la rupture de Jean-Luc Godard et François Truffaut , l’histoire de la Nouvelle Vague qui a bouleversé le septième art. Passionnant.

Pour pouvoir être scolarisés, quinze enfants et des moines du Zanskar entreprennent un voyage périlleux. C’est cette histoire merveilleuse que nous raconte Frederick Marx dans ce documentaire. Un message de paix, splendide et parfois très émouvant.

Route Irish

Les films britanniques sur la guerre d´Irak ne sont pas si nombreux. Avec « Route Irish », Ken Loach, dont la faconde est intacte, s´attaque au scandale de la privatisation des armées. L´occasion de revenir sur l´oeuvre puissante et cohérente du réalisateur.

La Dame de Fer

Grâce à l’interprétation remarquable de Meryl Streep et à un scénario intelligent, le second film de Phyllida Lloyd est une incontestable réussite.

Sur la route

En adaptant le chef-d’oeuvre de Jack Kerouac, « Sur la route », Walter Salles prenait un gros risque. Pari réussi.

Royal Affair

Superbe épopée et histoire vraie, le dernier film de Nicolaj Arcel est splendide, haletant et magnifiquement interprété.

Hannah Arendt

Margarethe von Trotta nous raconte Hannah Arendt, la grande philosophe disparue en 1975, en revenant sur la période la plus médiatique de sa vie : le procès Eichmann et ses suites. Passionnant.

Adama, mon kibboutz

Dror Shawl signe avec Adama, mon kibboutz un très beau film, primé au festival de Sundance. A la fois émouvant, touchant, drôle, tragique et finalement optimiste. A voir absolument.

Une vie toute neuve

Intimiste, émouvant, parfois drôle, touchant et d’une grande finesse, ce film raconte le drame d’une petite fille abandonnée par son père. A voir absolument.

L’Ombre de Bogota (La sombra del caminante)

Quand la poésie se mêle aux meurtrissures indélébiles de l’Histoire de la Colombie, elle donne lieu à un film admirable, pris comme autant de pulsions de vie.

Be happy (Happy-go-lucky)

Mike Leigh réalise ici un portrait haut en couleurs et en talons aiguilles de Poppy, une trentenaire empathique, criante de vie et d´humilité. Absolutely delightful.

L’Age de glace 3, Le Temps des dinosaures

Le troisième volet d’une franchise apparaît souvent comme << le film de trop >>. L’âge de glace 3, bien à la hauteur de ses prédécesseurs, serait donc l’exception qui confirme la règle…

Affreux, sales et méchants

Un film désopilant, illustration parfaite du politiquement incorrect tellement dérangeant à l’époque. Une histoire minimaliste, construite comme une tragédie antique, qui va droit au but et n’épargne personne. Oreilles sensibles s’abstenir…

Moi, Olga

Toute l´horreur de l´indifférence entre deux battements de cils.

Brooklyn Village

« Brooklyn Village » réintroduit toutes les obsessions d´Ira Sachs en agissant par la même occasion comme l´envers du délicat « Love Is Strange ». Un Grand Prix du jury à Deauville 2016 mérité.

XXY

Un film franc, qui ne cherche pas à se jouer de son spectateur ou à lui cacher quoi que ce soit, parfois au risque d´interpeller, voire de choquer.

Nebraska

Caustique et drôle, ce road movie sur fond de crise tourné en noir et blanc rappelle parfois les grandes heures du Nouvel Hollywood.

Saint Laurent

Bonello claironne la mort du biopic dans une oeuvre sensible et viscontienne de toute beauté. Un voyage placé sous le signe du cinéma à la mesure de YSL.

Dear White People

Révélée à Sundance, cette satire au phrasé tarantinesque tire le portrait d´une Amérique inexorablement viciée par ses problèmes identitaires. Un joli tour de force.

Much Loved

Sans concession mais avec une vraie délicatesse, Nabil Ayouch esquisse le portrait d´une société marocaine malade. Ode aux libertés mordante et admirablement interprétée.

Les Deux amis

Louis Garrel filme l´histoire d´une amitié glissant inexorablement vers l´inimitié. Beau, drôle et gentiment littéraire.

L’Ombre d’un doute (Shadow of a Doubt)

Réalisé en 1943, après Saboteur et avant Lifeboat, L’Ombre d’un doute (Shadow of a doubt) reste...

Les Oiseaux

Ressortie en version restaurée du film de Hitchcock, considéré comme l’un des derniers grands longs métrages de sa carrière.

Psychose

Après La Mort aux trousses, Hitchcock continue à casser le box office avec Psychose (Psycho. Voici même l’un des films les plus rentables du cinéaste, puisqu’il a coûté 800 000 dollars pour en rapporter 20 millions. Il faut dire que le cinéaste met en scène une histoire diaboliquement efficace, dont le suspense se met au service d’une tension permanente.

Insensibles

Juan Carlos Médina signe un premier long métrage vertigineux et profond sur une douleur taboue et réprimée. L’histoire d’un passé qui ne passe pas.

Rengaine

Shakespeare en verlan. Rachid Djaïdani signe un conte aussi drôle que sombre qui laisse présager de beaux jours au cinéma indépendant français.

Fenêtre sur cour (Rear Window)

Réalisé en 1954, Fenêtre sur cour (Rear Window) se situe, dans la filmographie d’Hitchcock, après...

Nouveau florilège du « savoir-rire » so british en 12 comédies déjantées

La comédie britannique s’invite sur grand écran pour les fêtes et notre plus grand plaisir. Les Anglais- c’est bien connu- ont érigé l’excentricité en véritable dogme. Entre 1939 et 1959, sous l’égide de Michael Balcon qui présida aux destinées des studios Ealing, le genre de la comédie affirma une britannité débridée en produisant une noria de farces insulaires aux facéties canularesques. Inventaire…

Born To Be Blue

Robert Budreau porte un regard hypnotique sur une tranche de vie du trompettiste de légende Chet Baker.

Une Année polaire

Le Grand Nord est à la mode depuis que la banquise fond. Samuel Collardey est allé installer sa caméra dans une école au pays des Inuits. Émouvant.

L’assemblée

Au cœur du mouvement Nuit Debout, ce documentaire prend avec une grande acuité le pouls de la démocratie.

Wake in Fright

Retour à l’état primaire.

Barry Lyndon

L’Irlande campagnarde du XIXe siècle. Son cadre champêtre, sa nature verdoyante, son goût des bonnes manières et de la patriarchie… Film sur le temps et l’apprentissage, Barry Lyndon s’imprègne du style pictural des années 1800, dans sa noblesse de composition.

A Ghost Story

« Les jours s’en vont, je demeure »

The Square

Au-delà de son cynisme apparent, The Square est, en réalité, d’une touchante naïveté : dans le « carré » du film, tout s’équilibre.

Note : 4 étoiles