Pays : USA

L’Homme du Sud

Couronné au festival de Venise en 1946, « The Southerner » se déroule comme un ample poème élégiaque imagé sur l’’âme du Sud et son sol aride fécondant les mentalités farouches avant que la mécanisation en marche n’emporte tout sur son passage. Panthéiste dans sa conversion à la nature . En version restaurée….

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Le photographe

Ritesh Bafa nous livre ici un quatrième long métrage dans la lignée de sa production indienne précédente sans se répéter pour autant.

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Swallow

Un véritable étendard d’une ode à l’acceptation de soi : envers et malgré tout.

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Tommaso

Un vingt-quatrième film pour mettre en scène la dure vie d’un ex toxico repenti dans les rues de la Ville éternelle.

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Pahokee

Portrait attachant et émouvant d’un lycée en zone agricole de Floride.

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Cocaïne Prison

En Bolivie, Hernán est incarcéré pour trafic de drogue, sa sœur va tenter d’ obtenir sa libération : Un documentaire saisissant.

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Last Christmas

Film convivial porté par un duo d’actrices fort, « Last Christmas » oscille entre esprit de Noël guilleret et situations dramatiques poignantes.

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Le Mans 66

Porté par un Christian Bale meilleur que jamais, « Le Mans 66 » nous raconte la passion d’un champion de course automobile avec des moments de vérité parfois bouleversants.

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Joker

Amas d’abîme sur lequel tente de danser un corps ravagé, « Joker » repose tout entier sur la composition démentielle de son acteur.

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Gemini man

De retour sur les écrans, Will Smith s’impose un rôle dans la continuité logique de sa carrière dans le nouveau projet de Ang Lee, réalisateur et producteur taïwanais notamment reconnu pour sa capacité d’adaptation au fond et à la forme.

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L’Homme qui rit

Injustement éclipsé par l’irruption du parlant, « L’homme qui rit » est le dernier avatar hollywoodien du « grotesque expressionniste ». A la manière des « diableries » baroques d’un Jérôme Bosch ou d’un Breughel, Paul Leni condense l’épopée visionnaire de Victor Hugo dans une théâtralité fantasmagorique. En version restaurée 4K.

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Détour

L’univers du film noir est rugueux comme un joyau dépoli. « Détour » est un noir expérimental à réévaluer. Comme son anti-héros la souffrance, cette série « B » distille la sueur et les contraintes majuscules de la production qui en font l’un des fleurons incontournables du genre. Viscéral en version restaurée 4K.

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River of Grass

Datant de 1994, le premier film de Kelly Reichardt sort enfin sur nos écrans : un charme certain et, surtout, plein de belles promesses.

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La Maison de la mort

« The Old Dark House » est un film d’épouvante qui démythifie avec bonheur les codes d’ordinaire attachés à une veine réputée intarissable. Cette comédie des manières teintée d’un humour noir « so british » vient pimenter un canevas de « maison hantée » qui grince de toutes parts. Subversivement détonnant dans le panthéon des classiques du genre. En version restaurée 4K ce 25 septembre.

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Scary Stories

Un film d’horreur plus profond qu’il n’y paraît sous ses oripeaux convenus. Un supplément d’âme qui doit beaucoup à Guillermo Del Toro, producteur et co-scénariste du film.

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Donnie Darko

Pas loin de vingt ans après sa sortie, Donnie Darko fait son retour en version restaurée dans les salles françaises. L’occasion de revenir sur un film des plus étranges – et par-là, des plus beaux.

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Greta

Thriller à ficelles dont la valeur tient beaucoup au magnétisme pervers dont se joue Isabelle Huppert.

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The dead don’t die

Ouverture du festival de Cannes 2019, Jim Jarmusch surprend tout le monde avec un film de zombie type des années 80, à la limite entre navet et génie.

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Monrovia, Indiana

Avec « Monrovia, Indiana », Frederick Wiseman filme en ethnographe une partie de son pays,une tranche de vie calme mais toujours plus repliée sur elle-même.

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House by the river

« House by the river » est une pure fantasmagorie, une oeuvre d’imagination et une vue de l’esprit où Fritz Lang explore la psyché de son anti-héros et hypostasie le mythe du démon. En version restaurée.

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Simetierre

Nouvelle adaptation du roman éponyme de Stephen King, « Simetierre » apparaît comme un succédané maîtrisé et divertissant mais sans force poétique.

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Ragtime

Une fresque épique, grandiose et tragique. En version restaurée.

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Un Américain bien tranquille

Confronté à l’adaptation de ce brûlot anti-américain de Graham Greene, Joseph Mankiewicz héroïse l’antagoniste américain et humanise le protagoniste-narrateur anglais sur la toile de fond chaotique d’une guerre d’Indochine asymétrique. En version restaurée.

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Casier judiciaire

« Casier judiciaire » est considéré comme un opus expérimental mineur dans la filmographie de Fritz Lang où l’influence brechtienne est néanmoins prépondérante grâce à un livret musical signé Kurt Weil et une rhétorique théâtrale qui pourfend les codes hollywoodiens. En version restaurée.

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Destroyer

C’est grâce à la force d’interprétation d’une Nicole Kidman méconnaissable et aux antipodes de son image de femme fatale que Karyn Kusama parvient à signer ici un polar féministe certes conventionnel, mais réussi.

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Ange

« Ange » est un opus de transition dans la filmographie audacieuse de Ernst Lubitsch. Le cinéaste réussit un coup de billard à trois bandes avec la censure du code Hayes en abordant le sujet tabou de la tentation adultérine dans le couple considérée du point de vue de la femme. Emoustillant en version restaurée.

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Green Book, sur les routes du Sud

« Green Book », couronné de l’Oscar du meilleur film, est un road movie inspiré d’une histoire vraie. Celle d’une amitié naissante entre deux hommes que tout oppose, sur fond de conflit racial aux Etats-Unis dans les années 60.

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Ernst Lubitsch à l’honneur à la cinémathèque du 12 mars au 24 avril ou le raffinement de l’illusion poussé jusqu’à la sophistication

« La société la plus spirituelle est celle que les tailleurs habillent ». Ce mantra, Ernst Lubitsch aurait pu le faire sien, qui, de simple commis- tailleur berlinois dans l’échoppe paternelle à acteur de genre formé à la troupe théâtrale du dramaturge Max Reinhardt puis réalisateur, exercera une influence prépondérante au sein des studios de l’usine à rêves hollywoodienne dès 1923 où il y fera la pluie et le beau temps. Maître de cérémonie incontesté de la haute couture cinématographique, il n’aura de cesse de dégrossir le vaudeville d’opérette de ses origines pour le fondre dans le moule de ses comédies légères autant que frivoles qui seront la marque de fabrique de sa lubitsch touch. La présente rétrospective recense plus de 50 films couvrant sa contribution au titre de metteur en scène producteur et acteur.

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