Comédie dramatique Archives - Page 14 sur 15 - Il était une fois le cinéma

Les Enfants sont partis

Ni drame, ni comédie, aparté doux amer sur un couple qui se retrouve face à lui-même quand « Les Enfants sont partis », le film de Daniel Burman auréole de grâce Oscar Martinez et Cecilia Roth dans un quotidien aussi réaliste que fantasmagorique. Une petite réussite d´une grande simplicité.

Yourself and Yours

Légèreté des bulles et amertume de la mousse…

Mensch

Décousu et mou, Mensch brosse le portrait d´un trentenaire paumé, délinquant au grand coeur. Décevant.

Le Héros de la famille

Au > de Nice, Gabriel(le), le gérant, incarnait la star du cabaret. Travesti aux mille paillettes,...

La Source des femmes

Pour un peu d´amour et d´eau fraiche, les habitantes d´un village oriental entament une grève du sexe. Radu Mihaileanu défend de belles convictions, mais son conte moderne tourne vite au mélo sans âme.

Bunker paradise

Bunker Paradise est le premier long-métrage de Stefan Liberski. L´histoire est celle de Mimo, acteur tentant de percer mais joignant les deux bouts en faisant le taxi. Alors qu´il est convoqué dans la luxueuse villa de John...

Hallu-Ciné : L’Aurore avant l’orage

Le 3 septembre avait lieu à Toulouse l´édition 2011 du ciné-concert Hallu-Ciné. Après s´être une première fois confronté à l´oeuvre de Murnau (« Le Dernier des Hommes »), Jean Dauriac, son fondateur, a choisi « L´Aurore » pour « appronfondir la rencontre avec ce cinéaste. » Compte-rendu.

Broken flowers

Broken Flowers ou le vertige du temps retrouvé Les premiers plans sont éloquents. Ils montrent un visage de l´Occident en trois dimensions : le survêtement, le canapé, le téléviseur. En ce sens, Broken Flowers n´illustre pas...

Le Caïman (Il Caimano)

Nanni Moretti avait tout d’abord écrit un scénario abordant directement le personnage de Berlusconi. Il s’est bien heureusement ravisé. Le réalisateur explique ce choix dans Le caïman en interprétant son propre rôle et en...

Amarcord

Le déroulement narratif d’Amarcord (1973), à l’instar des précédentes réalisations de Fellini...

Le fascisme ordinaire : Une journée particulière d´Ettore Scola (1977)

Une journée particulière, d´Ettore Scola, commence par des images d´actualité qui montrent la visite officielle d´Hitler à Rome en mai 1938, puis les moments importants de cette journée, à laquelle participe allégrement la population de la capitale.

Ricky

François Ozon coupe les ailes du cinéma français…

Amorosa Soledad

Amorosa Soledad : << charmante solitude >> ou << adorable Soledad >>, du prénom du personnage principal. Chacun choisira, ou préfèrera ne pas choisir. Car Inès Efron est tout à la fois charmante et adorable, dans ce rôle fragile, doux et attachant.

Belle Dormant

Une proposition de réconciliation entre l´imaginaire et l´existence.

T2 Trainspotting

Cette suite qui n’aurait jamais dû exister…

Jeune femme

La poétique du hors-champ, ou l´étreinte impossible entre sujet et caméra.

L’Anguille (Unagi – Shohei Imamura, 1997)

OEuvre symbolique et philosophique jouissant d’une extrême densité d’écriture, mais cultivant la transparence en tant qu’histoire ancrée dans le quotidien, « L’Anguille » est une oeuvre fascinante dans sa façon d’aborder la question humaine comme parcelle de nature.

Goodbye Solo

C´est à un beau tête-à-tête que nous convie Ramin Bahrani pour son troisième long-métrage, inspiré de personnes réelles habitant à Winston Salem, sa ville natale.

Le refuge d’Ozon, c’est Carré… ment bien !

A l’occasion de la sortie en salle du nouveau (beau) film de François Ozon, « Le refuge », rencontre avec ce cinéaste insaisissable et sa nouvelle égérie, Isabelle Carré.

La Vie de château

Tranche de vie pittoresque, mais pas vraiment passionnante, sur Château d´Eau, l’un des quartiers africains de Paris.

Nous nous sommes tant aimés (C’eravamo tanto amati – 1974)

OEuvre-bilan sur l’échec d’une génération, « Nous nous sommes tant aimés » tisse un rapport étroit entre fiction et Histoire. Drôle et mélancolique à la fois, ce bel hommage au cinéma italien est l’un des films les plus… aimés de Scola.

La Belle personne

Succédant à deux films ayant joliment esquissé les promesses d’un style en voie d’épanouissement, La Belle personne, cinquième long-métrage de Christophe Honoré, « libre adaptation » de La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette, déçoit (un peu) par son étonnant manque d’indépendance.

Rencontre avec Chiara Mastroianni

Avec Non ma fille tu n’iras pas danser, Christophe Honoré offre à Chiara Mastroianni un premier rôle tout en mouvement, en ruptures, en rebondissements. Explications, sous forme de mots-clé, avec << la >> belle discrète du cinéma français.

Tournée

Foutraque, cette « Tournée » ? Plutôt nerveuse, lacunaire et terriblement attachante ! Oscillant entre résistance et abandon, elle offre à voir une beauté hors codes. Et revendiquée comme telle. Salutaire, en tout cas.

La Blonde aux seins nus

C’est un film en forme de dérive sur la Seine. Une belle escale cinéphile hors temps, qui emprunte les canaux du romanesque. Dommage que Manuel Pradal embrouille son conte au fil de l’eau d’éléments extérieurs et de clichés dispensables.

Notre jour viendra

Romain Gavras s’offre un road-movie désespéré en guise de premier film. Lorgnant du côté des « Valseuses » de Blier, mais sans ses trouvailles, de rythme comme d’écriture, ses provocations ennuient, façon pétards mouillés. Dommage, à défaut d’une voix, le jeune cinéaste a un oeil…

A Serious Man

A la fois plus touchant et plus grinçant que les précédents, « A Serious Man », en forme de chronique autobiographique, est l’un des plus personnels des frères Coen.

Le Refuge

François Ozon signe ici un beau film sec – finalement bouleversant – non seulement sur la maternité et la transmission, mais aussi sur le manque. Thème forcément personnel à force d’être récurrent.

Les Femmes de mes amis

Triviale, bancale, cette nouvelle chronique du cinéaste coréen, apparemment égocentrique, témoigne en fait d’une force burlesque réjouissante ! Boire et déboires, aux confins de l’ironie et de l’absurde.

Amerrika

Un petit film pétri de bons sentiments… mais pas seulement ! Ce portrait rieur d’une << mère courage >> palestinienne donne à voir, aussi, une facette inédite du melting-pot à l’américaine…

Funny people

Le maître de la comédie « adulescente » américaine propose un regard acide sur la fameuse crise de la quarantaine. Dommage qu’il se laisse rattraper par une curieuse lenteur…

Gamines

L’adaptation du livre de Sylvie Testud, bâtie sur un flashback morcelé, oscille entre deux époques. Celle de l’enfance, frondeuse et subjective, est plus réussie.

Ce vieux rêve qui bouge (Alain Guiraudie, 2001)

Doux licenciement.

Birdman

Au-delà de l’exercice de style à couper le souffle, « Birdman » est un film poignant, à hauteur d’homme, qui n’a pas volé son triomphe aux Oscars.

Mariage à Mendoza

Chaleureux et touchant, ce « road trip » franco-argentin s´avère malheureusement trop convenu sur la forme comme sur le fond.

La Parade

Un film audacieux et bien intentionné, certes, mais lesté par de nombreuses maladresses.

Les Amants passagers

Une déception assez vive, dont on espère qu’elle restera une simple parenthèse dans la carrière d’Almodóvar.

La Grande Bellezza

Artificiel, trop prémédité, « La Grande Bellezza » s’impose finalement comme un film délicat et touchant.

Elle s´appelle Ruby

Brassant des thématiques passionnantes, le deuxième film de Dayton et Faris séduit par sa légèreté mais déçoit par son manque d’audace.

Vincent, François, Paul… et les autres (1974)

Une bande de cinquantenaires, la banlieue, 1974.

Trois soeurs

À la fois lumineuse et confinée, cette chronique de fin d´adolescence n’apparaît pas assez aboutie pour totalement séduire.

Blue Jasmine

Triste princesse.

DVD « Rock the Casbah »

Violence des rapports familiaux au sein d’un environnement idyllique mais cloisonné.

Mia Madre

Nanni Moretti filme une femme désemparée devant la mort prochaine de sa mère. Un film d´une très grande finesse et sans artifice.

Salaud, on t’aime

Voyage au bout de l’ennui dans les alpages.

Le Monde de Nathan

L’histoire d’un adolescent autiste et surdoué des maths. Quelques moments de vérité dans un film malgré tout sans génie.

Carnage

Dans ce huis clos à la mise en scène parfaitement maîtrisée , Polanski s’attaque aux faux-semblants et au politiquement correct. Hélas, son « rififi chez les bobos » manque de gravité et de profondeur.

Le Grand Retournement

Gérard Mordillat signe avec « Le Grand Retournement » un film engagé, ironique et original sur la crise financière. Intéressant.

Mademoiselle Chambon

Avec Mademoiselle Chambon, le jeune réalisateur Stéphane Brizé nous livre une mièvre romance dans un petit village. Décevant.

Les vies privées de Pippa Lee

Dans son dernier long-métrage, Rebecca Miller évoque la crise de la cinquantaine d’une femme américaine pour qui tout va bien en apparence. On ne s’ennuie pas.

Genre : Comédie dramatique