Riddle of fire
Un peu foutraque, un peu engagé, film enlevé pour enfants pas sages…
Un peu foutraque, un peu engagé, film enlevé pour enfants pas sages…
Un road-movie sur une mère et sa fille. Insolite et dynamique.
Virée dans l’amer-ique imaginaire d’Alex Garland.
Eustache ressuscité.
Musique d’ Ennio Morricone pour l’un, scénario de Sergio Leone pour l’autre, et en vedette le bondissant et irrésistible Giuliano Gemma. Deux succulents westerns spaghetti à déguster sans modération
Le premier film d’un rédacteur de la revue. Rushs et images.
Joies et stress d’une infirmière à l’hôpital Nord de Marseille.
Des profondeurs de la nuit à la mise à plat du jour
Film macabre, surréaliste et franchement mexicain avec le scénariste de Luis Buñuel…
Face à face
Le vieil homme et l’enfant à l’ère du soupçon de pédophilie généralisé…
Il était sept fois
Comment un petit mensonge prend des allures d’affaire d’Etat !
Liberté, que de rêves commis en ton nom
Crépuscule en Guinée-Bissau
Claude Rains dans la peau d’un maléfique personnage de Dickens, Alan Ladd dans le costume de Gatsby le magnifique : deux singulières adaptations qui viennent enrichir la collection Master Class.
C’est l’histoire d’un lycée de banlieue où les élèves réussissent, et ce n’est pas un conte de fées…
Festival du court-métrage de Clermont-Ferrand Du 2 au 10 février dernier, s’est tenu à...
Accrocs à la vie, à la mort.
Les effets en dur, les effets endurent…
Une malicieuse Murder Party à l’accent So British.
Dans l’immédiat après-guerre, Yasujiro Ozu focalisa l’œilleton de sa caméra sur la chronique simple et désarmante des vicissitudes familiales en leur insufflant cependant un tour mélodramatique inattendu de sa part. Sans aller jusqu’à renier ces films mineurs dans sa production, le sensei amorça ce tournant transitoire non sans une certaine frustration. Découvertes…
Le pénultième film d’Ozu pourrait bien être son testament cinématographique. Sa tonalité tragi-comique et ses couleurs d’un rouge mordoré anticipent la saison automnale à travers la fin de vie crépusculaire d’un patriarche et d’un pater familias, dans le même temps, selon le cycle d’une existence ramenée au pathos des choses les plus insignifiantes. En version restaurée par le distributeur Carlotta.
Difficile de passer sous silence une œuvre aussi importante que « Il était un père » dans la filmographie d’Ozu malgré le didactisme de la forme. Tiraillé entre la rhétorique propagandiste de la hiérarchie militaire japonaise, la censure de l’armée d’occupation militaire du général Mac Arthur qui lui sont imposées par l’effort de guerre, Ozu réintroduit le fil rouge de la parentalité abordé dans « Un fils unique » (1936) avec le scepticisme foncier qui le caractérise.
Avant de fixer sur sa toile de fond les sempiternels drames et bonheurs étales de la maisonnée japonaise moderne, Yasujiro Ozu réfracte à travers ses films de l’après-guerre la démoralisation d’une société égarée dans le chaos des sentiments et les privations de l’occupation avant la reconstruction.
Au cœur de l’ œuvre ô combien exceptionnelle de David Cronenberg, Faux-semblants est probablement sa pièce maîtresse.
La ressortie en salles d’un beau film espagnol sur l’enfance blessée.
Le cinéma comme une forme de terrorisme du bon goût.
Baroque et barré, flamboyant et intime portrait de Gustave Malher, L’inclassable Ken Russell livre ici une de ses plus belles partitions.
L’équipe de notre webzine a décidé de rendre hommage aux femmes cinéastes en partageant un panorama de ses films préférés signés par des réalisatrices d’hier et d’aujourd’hui.
En louant l’un de ses appartements, un jeune couple signe pour son pire cauchemar. Un thriller habillement agencé par John Schlesinger.
Holly est perçue comme une fille bizarre par ses camarades de classe jusqu’au jour où l’on découvre que celle-ci possède le don de soulager les gens de leurs chagrins.
« Absolument » Agnès Jaoui, nous dit le réalisateur.
Portrait en demi-teinte d’une ville et d’une femme prisonnière du patriarcat.
Roger Corman dans trois de ses adaptations très inspirées D’Edgard Allan Poe.
Parabole du théorème.
Une nouvelle Web série prometteuse en ligne sur YouTube…
La glace fond, les souvenirs reviennent en mémoire.
Point de vue.
Le désert apporte la paix à ceux qui n’en ont que dans le rêve.
Un don filmique du cœur.
A la recherche des souvenirs perdus…
UN FILM DE SURVIE SOUS TENSION AU CŒUR DE LA JUNGLE INDOCHINOISE;
Quittant la rade de Toulon et l’atmosphère délétère et gangrenée qu’il instille dans « L’étrange monsieur Victor », Jean Grémillon choisit celle, embrumée, de Brest où il s’attelle à dépeindre l’ épopée maritime tumultueuse des sauveteurs des cargos en perdition. Le réalisme est saisissant, porté par la romance chavirante du réalisateur et la poésie incantatoire des dialogues de Jacques Prévert.
La mort au travail
Né d’une urgence d’écrire, « Le Consentement » est un livre qui ne pouvait ressembler à rien d’autre. Examinons ensemble les questions que pose fatalement la démarche de l’adapter.
Une filiation ambivalente
Histoire à mou-rire debout.
Sélectionné à la berlinoise 2022, un voyage troublant au cœur d’un Brésil inquiétant.
Memoria